Alain Favrod n’impose pas d’emblée un sujet à son matériau.
Pour lui, un tronc coupé n’est pas un tronc mort.
Il le prend dans ses mains, le tourne, le palpe, l’ausculte, l’interroge et peu à peu s’instaure un dialogue entre le sculpteur et la matière.
Et l’arbre mort renaît à une vie nouvelle.
André-Paul Zeller,
les Fontaines, octobre 2003.